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L'essentiel par l'éditeur
Le rapport du CGLPL souligne que la privation de liberté en psychiatrie est un facteur clé de violence, exacerbée par l'urgence des hospitalisations et les conditions d'isolement. Les recommandations incluent une meilleure évaluation des risques, des environnements de soins plus ouverts, et des alternatives thérapeutiques. Le rapport de l'ONVS révèle que 70 % des violences en psychiatrie sont commises par des patients, souvent sous l'influence de substances. La prévention repose sur une approche pluridisciplinaire et des valeurs partagées comme le respect et la sécurité.
Selon un rapport publié en 2020 par le Contrôleur général des lieux de privation de liberté (CGLPL) sur « Les violences interpersonnelles dans les lieux de privation de liberté », l’impact de la privation de liberté dans les hôpitaux psychiatriques constitue un facteur critique contribuant à la survenue de violences des patients.
Ce rapport met en évidence la complexité de cette problématique et relève plusieurs facteurs de risques de violence en psychiatrie liés à cette privation de liberté, tout en proposant quelques recommandations pour réduire les effets préjudiciables.
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