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L'essentiel par l'éditeur
Les ateliers d'adaptation à la vie active (AVA) offrent une réinsertion sociale aux personnes marginalisées via une activité rémunérée, sans statut de salarié. Les AVA, définis par le Code de l'action sociale, permettent un accompagnement social et technique, favorisant la reconstruction personnelle avant un emploi durable. Financé par des aides publiques et la vente de biens, l'AVA n'est pas soumis au droit du travail. Chaque AVA propose des activités variées, contribuant à la stabilisation et à la réintégration sociale.
Les centres d’adaptation à la vie active (Cava) proposent à des personnes marginalisées ou menacées d’inadaptation, un travail rémunéré pour leur permettre une réinsertion sociale. Ils deviennent ensuite les actuels ateliers d'adaptation à la vie active (AVA). L’idée est de proposer une activité rémunérée en contrepartie de l’hébergement et un accompagnement.
L'activité des AVA est définie aux articles R. 345-3 et R. 345-4 du Code de l’action sociale et des familles. Les personnes en AVA ne sont pas salariées mais rémunérées au « pécule », sur une base horaire entre 30 % et 80 % du Smic, selon leur situation et le caractère de l’activité pratiquée. La durée mensuelle de l’activité en AVA est de 80 heures maximum, limitée à six mois, renouvelable sur accord du préfet.
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Insertion et lutte contre les exclusions
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