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L'essentiel par l'éditeur
Les risques psychosociaux (RPS) à l'hôpital, tels que le stress, le harcèlement et le burn-out, résultent de facteurs individuels et organisationnels. La prévention passe par l'évaluation régulière des RPS, l'implication du CHSCT, et la formation des cadres. Le document unique d'évaluation des risques professionnels (DUERP) et le programme annuel de prévention (Papripact) sont essentiels. La qualité de vie au travail (QVT) et un management bienveillant sont des leviers clés pour réduire ces risques.
Notion relativement récente dans le monde du travail, les risques psychosociaux ont été sériés de manière progressive ces dernières années. On les définit communément comme les « risques identifiés vis-à-vis de la santé mentale, physique et sociale, engendrés par les conditions d’emploi et les facteurs organisationnels et relationnels susceptibles d’interagir avec le fonctionnement mental ».
Ainsi, les RPS sont à l’interface de l’individu et de sa situation de travail. Les principales composantes identifiées des RPS sont le stress mais aussi les violences internes (harcèlement notamment) et les violences externes (exercées par des personnes extérieures à l’hôpital, qui peuvent être les patients autant que les visiteurs).
Les accords conclus à l’unanimité par les parten...
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