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L'essentiel par l'éditeur
Les benzodiazépines présentent des risques accrus lorsqu'elles sont associées à l'alcool ou à d'autres dépresseurs du système nerveux central, augmentant la dépression centrale et l'altération de la vigilance. Chez les personnes âgées, elles peuvent entraîner des effets indésirables psychomoteurs et cognitifs, augmentant le risque de chutes et de démence. Leur consommation est également liée à un risque accru d'accidents de la route et de prescription hors AMM, ainsi qu'à des usages détournés et criminels.
Le rapport 2017 de l’ANSM rappelle que l’alcool augmente l’effet sédatif des benzodiazépines et produits apparentés. De plus, leur association avec d’autres dépresseurs du système nerveux central (comme les dérivés morphiniques, les neuroleptiques, les barbituriques, les anxiolytiques, les hypnotiques, les antidépresseurs sédatifs, les antihistaminiques H1 sédatifs, les antihypertenseurs centraux, le baclofène et la thalidomide) augmente la dépression centrale et l’altération de la vigilance.
La modification de la vigilance peut rendre dangereuse la conduite de véhicules et l’utilisation de machines.
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