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L'essentiel par l'éditeur
La loi du 2 janvier 2002 incite à placer l'usager au cœur des décisions, favorisant l'intimité et la vie affective des résidents en institution. Des solutions pratiques comme des verrous ou des espaces privés sont proposées pour préserver l'intimité. L'implication des familles et des professionnels est cruciale, tout comme l'organisation de formations et de groupes de parole. Les institutions doivent garantir le respect de la vie privée et évaluer régulièrement l'accompagnement affectif des résidents.
La loi du 2 janvier 2002 relative à la rénovation de l’action sociale constitue une incitation forte à placer l’usager au cœur du processus décisionnel et conduira sans doute à une modification des pratiques dans le sens d’une plus grande participation des résidents.
Favoriser la vie affective et l’intimité du résident en institution repose sur des approches plurielles dont certaines sont abordées ici.
Selon certains résidents, il peut être difficile d’avoir une vie intime dans l’institution, car « tout le monde peut entrer » dans les chambres. On peut permettre à certaines personnes de fermer un verrou intérieur et donc intégrer cette facilité comme un moyen de préservation de son intimité. Des panneaux-stops ou...
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