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L'essentiel par l'éditeur
L'approbation d'un SCoT impose la mise en compatibilité des PLU dans un délai de 3 ans, selon les impacts sur les documents d'urbanisme. La loi Élan et l'ordonnance de 2020 précisent les relations normatives entre SCoT et PLU. Le SCoT doit aussi être compatible avec des documents supérieurs comme le Sraddet. En cas de non-conformité, le préfet peut intervenir. La compatibilité est distincte de la conformité, et la constructibilité est limitée sans SCoT, sauf dérogation préfectorale.
Jusqu’à la loi Alur et lorsqu’un SCoT était approuvé, les communes disposaient d’un délai de 3 ans pour mettre en compatibilité leur PLU. Ce délai unique a évolué en fonction des incidences du SCoT sur les documents de rang inférieur.
La loi n° 2018-1021 du 23 novembre 2018, dite loi Élan, puis, plus récemment, l’ordonnance n° 2020-745 du 17 juin 2020 ont précisé les rapports normatifs entre les SCoT et les différentes règles et documents d’urbanisme et les délais de mise en compatibilité.
Ainsi, l’établissement public de coopération intercommunale (EPCI) compétent ou la commune est donc tenu de procéder à une analyse de la compatibilité du plan local d’urbanisme, du document en tenant lieu ou de la carte communale avec le SCoT et de délibérer sur son maintien en vigueur, ou su...
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Urbanisme et aménagement
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