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L'essentiel par l'éditeur
La législation française encadre strictement les actes médicaux pour protéger les patients. Seuls les médecins diplômés et inscrits à l'Ordre peuvent réaliser certains actes, bien que des auxiliaires médicaux puissent intervenir sous supervision. Les actes médicaux doivent respecter l'intégrité du corps humain, et les pratiques de charlatanisme sont interdites. L'exercice illégal de la médecine est sévèrement puni, tout comme les actes déraisonnables qui ne bénéficient pas au patient.
L’acte médical ne peut être réalisé normalement que par le médecin diplômé et inscrit au tableau de l’ordre. L’ article 2 de l’arrêté du 6 janvier 1962 édicte d’ailleurs la liste des actes qui relèvent exclusivement de la compétence d’un médecin. Toutefois, il est possible que ces actes soient réalisés par des auxiliaires médicaux qualifiés s’ils se trouvent sous la responsabilité et la surveillance directe d’un médecin (A., 6 janv. 1962, art. 3). Il est également possible, pour ces auxiliaires médicaux, de réaliser certains actes sur prescription du médecin et sans la présence de ce dernier. Il s’agit alors d’actes de soins ne présentant pas de difficultés d’exécution particulières (A., 6 janv. 1962, art. 4).
Trois conditions sont donc nécessaires pour être autorisé à réaliser...
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Droits des patients et des résidents
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