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L'essentiel par l'éditeur
Les détenus ont droit à des soins de santé équivalents à ceux du droit commun, mais leur effectivité est souvent limitée par les contraintes pénitentiaires. Le guide méthodologique de 2012 souligne l'importance de l'indépendance des soignants et du consentement des patients. Les droits incluent l'accès aux soins, l'information, le consentement, et le refus de soins, mais sont souvent entravés par des difficultés structurelles et logistiques. Des voies de recours existent pour garantir ces droits.
Le « Guide méthodologique de prise en charge des personnes placées sous main de justice » de 2012 (p. 86) rend compte de la problématique de l’effectivité des droits des détenus en ces termes : « les personnes détenues relèvent du droit commun en matière de santé, ce qui signifie qu’elles bénéficient de toutes les dispositions en faveur des droits des patients », tout en restreignant aussitôt : « la mise en œuvre de ces droits peut être freinée par les contraintes pénitentiaires et judiciaires, aussi il convient d’être particulièrement vigilant quant à l’exercice de ces droits d’autant que les bénéficiaires sont en situation de vulnérabilité ».
Cette réflexion sur l’effectivité des droits des détenus impose de faire état des voies de recours contribuant au respect des droit...
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Droits des patients et des résidents
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