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L'essentiel par l'éditeur
Le consentement médical en France repose sur le principe du consentement libre et éclairé du patient, qui doit être informé de manière claire et appropriée. Le consentement peut être donné oralement, sauf dans certains cas où un écrit est requis. Les professionnels de santé doivent s'assurer que le patient comprend l'information reçue et tracer le consentement dans le dossier médical. En cas d'urgence, le consentement peut être omis pour préserver la vie du patient.
Il est nécessaire de rappeler que seul le patient a la faculté de consentir pour lui-même.
Aussi, le consentement ne peut être donné que par un patient lucide ou suffisamment lucide pour décider de ce qu’il souhaite pour sa santé. Cependant, et bien que le consentement de tout patient doive être recherché quelle que soit sa situation, il existe trois hypothèses où il peut y avoir une dissociation entre le décideur et le bénéficiaire des soins, mais sans pour autant en exclure totalement le patient :
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