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L'essentiel par l'éditeur
La protection des fonctionnaires en cas de poursuites civiles ou pénales est encadrée par la loi, qui distingue entre faute personnelle détachable et faute de service. La collectivité publique doit couvrir les condamnations civiles si aucune faute personnelle n'est prouvée. En cas de poursuites pénales, la protection s'étend aux témoins assistés et aux gardes à vue. La jurisprudence joue un rôle clé dans l'identification des fautes, influençant la protection accordée.
En mentionnant la « faute personnelle détachable » (alinéas 2 et 3), l’article 11 n’apporte pas d’indication très claire visant à l’identification de la faute commise par un agent. C’est traditionnellement la jurisprudence qui offre des exemples éclairants.
Ont été caractérisés comme fautes personnelles détachables (nous ne citons que des exemples plausibles en milieu hospitalier, à l’exclusion des jurisprudences concernant les fonctionnaires de police faisant usage de leur arme de service) :
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