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L'essentiel par l'éditeur
La protection des policiers municipaux a été renforcée après les attentats de 2015, avec des mesures comme l'armement temporaire et l'équipement en gilets pare-balles. Le droit de retrait est limité pour ces agents, notamment dans les missions de sécurité, mais reste possible en cas de danger grave et imminent. Les procédures de retrait incluent une alerte préalable et une enquête administrative pour évaluer le danger. L'exercice abusif du droit de retrait peut entraîner des sanctions.
À la suite des attentats de janvier 2015, au cours desquels une policière municipale a trouvé la mort, le ministère de l’Intérieur a envoyé aux préfectures des instructions leur demandant de rappeler aux maires l’obligation d’assurer la sécurité des agents placés sous leur responsabilité.
Le dispositif de remise temporaire d’armes de la police nationale au profit des services de police municipale fait partie des mesures mises en place à cette occasion. Il a permis aux maires d’armer leurs agents d’anciens pistolets 357 magnum ayant appartenu à des policiers. Issu d’une concertation entre le ministère de l’Intérieur et l’Association des maires de France, ce dispositif nécessitait toutefois l’adoption d’un avenant à la convention de coordination...
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Police municipale
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