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L'essentiel par l'éditeur
La taxe additionnelle aux droits de mutation s'applique aux mutations onéreuses de biens immobiliers et mobiliers, avec un taux de base de 1,20 % pour les immeubles. Elle est perçue par les communes de plus de 5 000 habitants ou classées stations de tourisme. Les exonérations partielles ou totales sont possibles sous certaines conditions. Le produit de la taxe est une ressource fiscale importante pour les collectivités locales, malgré une baisse des recettes depuis 2008.
L’ article 683 du Code général des impôts prévoit que « Les actes civils et judiciaires translatifs de propriété ou d’usufruit de biens immeubles à titre onéreux sont assujettis à une taxe de publicité foncière ou à un droit d’enregistrement au taux prévu à l’article 1594 D. La taxe ou le droit sont liquidés sur le prix exprimé, en y ajoutant toutes les charges en capital ainsi que toutes les indemnités stipulées au profit du cédant, à quelque titre et pour quelque cause que ce soit, ou sur une estimation d’experts, dans les cas autorisés par le présent code. Lorsque la mutation porte à la fois sur des immeubles par nature et sur des immeubles par destination, ces derniers doivent faire l’objet d’un prix particulier et d’une désignation détaillée ».
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