Réservé aux abonnés | Essayer gratuitement
L'essentiel par l'éditeur
La gestion en régie des transports publics permet aux collectivités de conserver une maîtrise totale du service, tant sur le plan technique que financier. Trois types de régies existent : simple, autonome et personnalisée, chacune offrant différents niveaux d'autonomie et de contrôle. La loi LOM a élargi les compétences des autorités organisatrices de mobilité, facilitant l'organisation de services variés. La régie directe assure une gestion intégrale, tandis que l'Epic offre une autonomie juridique et financière.
Un service public est géré en régie lorsque la collectivité le gère elle-même avec ses propres moyens financiers et en matériel.
Le Code général des collectivités territoriales (CGCT) distingue trois types de régies.
La régie directe correspond à l’hypothèse où la collectivité gère directement le service en prélevant sur son budget les moyens financiers et en utilisant ses propres moyens en matériel et en personnel. Toutes les dépenses engagées sont imputables au budget de la collectivité. Cette forme de régie est le mode normal de gestion des services publics administratifs (SPA) tels que, pour les services de l’État, la gestion du service public de la justice, les impôts, la défense nationale… La régie directe d’un service public d’intérêt coll...
Contenu réservé aux abonnés
Si vous êtes abonné, cliquez pour poursuivre la lecture
Il vous reste 90% à découvrir
Poursuivez la lecture
en profitant d'un essai gratuit (offre sans engagement)
Cette fiche est incluse dans l'offre :
Transition écologique et énergétique
08/04/25
Alimentation : la stratégie gouvernementale en consultation, critiques des ONG
08/04/25
Simplification du droit de l'urbanisme : le député Harold Huwart dessine les contours d'une prochaine loi
28/03/25
Les zones à faibles émissions : pensées pour la Santé publique mais dénoncées comme une "bombe sociale"
Versionbeta