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L'essentiel par l'éditeur
La démocratie participative en France s'appuie sur la convention d'Aarhus et la Charte de l'environnement, intégrant la participation citoyenne dans les décisions environnementales et urbanistiques. Les lois Bouchardeau et de 2009 renforcent cette dynamique, bien que la complexité des procédures puisse créer une insécurité juridique. La concertation préalable et l'initiative citoyenne sont des outils clés pour impliquer le public, mais nécessitent une vulgarisation efficace pour garantir leur succès.
La convention d’Aarhus du 25 juin 1998, ratifiée en 2002, est le premier outil juridique international coercitif sur l’accès à l’information, la participation du public au processus décisionnel et l’accès à la justice en matière d’environnement. Le droit interne français a adopté en 2004 la Charte de l’environnement au sein de laquelle la participation du citoyen est édictée clairement. Ce principe a valeur constitutionnelle depuis la révision du 1er mars 2005, ce qui n’est pas sans conséquence. Cette disposition va pouvoir servir de levier dans le cadre des questions prioritaires de constitutionnalité. On peut déjà noter qu’une question prioritaire de constitutionnalité (QPC) a déjà été exercée devant le Conseil d’État, qui a précisé que la Charte ne peut êt...
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Transition écologique et énergétique
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