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L'essentiel par l'éditeur
L'organisation de la blanchisserie, qu'elle soit intégrée ou externalisée, repose sur des normes strictes pour garantir l'hygiène et l'efficacité. La méthode RABC est recommandée pour limiter les contaminations croisées. L'externalisation libère de l'espace et simplifie la gestion, mais nécessite un suivi rigoureux des prestations. La traçabilité du linge est cruciale pour éviter les pertes. Les coûts varient selon le mode de gestion, avec des forfaits simplifiant le budget pour les établissements.
Aujourd’hui, la blanchisserie intégrée à l’établissement doit répondre à certains critères de propreté et d’organisation. Les locaux doivent être adaptés pour permettre un fonctionnement suivant la norme EN NF14 065, dite « RABC ». Ce n’est pas une obligation mais la recommandation est très forte.
Les locaux de la blanchisserie doivent répondre à une logique de marche en avant : le linge sale collecté arrive dans des sacs textiles, dans un local séparé permettant le tri et le pesage du linge par catégorie. Les machines à laver sont du type aseptique ou barrière, c’est-à-dire disposant d’une porte côté sale et d’une deuxième porte côté propre. Ainsi, le linge sale ne croise pas le linge propre. Cette séparation physique limite les contaminations croisées.
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