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L'essentiel par l'éditeur
Le référent alerte éthique joue un rôle crucial dans la gestion des alertes au sein des collectivités, garantissant la confidentialité et l'intégrité du processus. Il doit accuser réception des alertes sous 7 jours et les traiter en 3 mois maximum. La loi Waserman simplifie le choix entre signalement interne et externe, renforçant la protection des lanceurs d'alerte. Les moyens informatiques et l'absence de lien hiérarchique sont essentiels pour préserver l'anonymat et l'indépendance du référent.
Une grande liberté est laissée aux collectivités quant au choix de la forme que prendra le référent alerte éthique.
Néanmoins, en tant que pierre angulaire du dispositif, il est conseillé de cadrer ses missions en les formalisant dans un acte administratif (cf. Arrêté de désignation du référent alerte éthique).
En effet, le référent alerte éthique a la responsabilité de contrôler formellement l’alerte en vérifiant qu’elle émane d’une personne physique agissant de bonne foi et sans contrepartie financière. Il est par ailleurs le garant de la confidentialité et doit gérer la procédure. De fait, il doit accuser réception de l’alerte dans les 7 jours, s’assurer qu’elle est étayée par toutes les informations nécessaires et donner au lanceur un délai raisonnable et prévi...
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