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L'essentiel par l'éditeur
Le droit de préemption des baux commerciaux permet aux communes de contrôler les cessions de fonds artisanaux, de commerce et de baux commerciaux pour préserver la diversité commerciale. Ce droit s'applique aux surfaces de vente entre 300 et 1 000 m², et peut être étendu dans le cadre de grandes opérations d'urbanisme. La procédure implique une notification au maire et un délai de réponse de 2 mois. La rétrocession doit être effectuée dans l'année, avec un appel à candidatures pour garantir la transparence.
Ce droit de préemption concerne toutes les cessions de fonds artisanaux, de fonds de commerce, de baux commerciaux et de terrains portant ou destinés à porter des commerces, dès lors qu’il s’agit de magasins de vente au détail ou de centres commerciaux, d’une surface de vente comprise entre 300 et 1 000 m².
Ce droit de préemption ne concerne pas :
Par dérogation, lorsqu’il est instauré à l’intérieur d’une grande opération d’urbanisme, sont également soumises au droit de préemption les aliénations à titre onéreux de terrains accueillant ou destinés à accueillir des commerces d’une surface de v...
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Développement économique local
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