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L'essentiel par l'éditeur
Le droit à l'accompagnement familial en fin de vie est renforcé par la législation française, garantissant aux proches un accès illimité aux patients en soins palliatifs. Les établissements doivent faciliter ces visites, même en cas de menace sanitaire. Le congé de solidarité familiale permet aux salariés de s'occuper d'un proche en fin de vie, avec une allocation journalière pour compenser la perte de revenu. Ce dispositif vise à soutenir les familles et à éviter l'isolement des patients.
L’accompagnement des proches de la personne en fin de vie faisant l’objet de soins palliatifs est prévu par l’article L. 1110-10 du Code de la santé publique . Selon cet article, les soins palliatifs « visent à soulager la douleur, à apaiser la souffrance psychique, à sauvegarder la dignité de la personne malade et à soutenir son entourage ».
Les unités ou les équipes de soins palliatifs accordent ainsi une grande place à l’entourage famillial ou amical du patient ou résident. Le plus souvent, des espaces de rencontre sont mis à disposition au sein de ces unités. Ainsi, l’accueil de la famille (et/ou des proches) du patient ou du resident au sein de l’unité, ou d’une équipe, est une priorité.
Dès lors, les proches peuvent séjourner auprès de la personne prise en charge en soins...
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Droits des patients et des résidents
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