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L'essentiel par l'éditeur
La répartition des charges de fonctionnement des écoles publiques entre communes est régie par des dispositions législatives précises. La commune de résidence doit participer financièrement à la scolarisation dans la commune d'accueil dans certains cas, comme les contraintes professionnelles ou médicales des parents. Le calcul de la contribution prend en compte les ressources de la commune et le coût moyen par élève. Les désaccords peuvent être arbitrés par le préfet, et les EPCI jouent un rôle clé dans la gestion des dépenses.
Aucune charge ne peut être imposée à la commune de résidence si la capacité d’accueil de ses propres écoles permet la scolarisation des enfants concernés, c’est-à-dire si les écoles disposent des postes d’enseignants et des locaux nécessaires à leur fonctionnement.
En revanche, si la commune de résidence émet un avis favorable quant à la dérogation sollicitée, la commune d’accueil s’engage à accepter cette dérogation en contrepartie d’une participation de la commune de résidence, et cela dans la limite des places disponibles dans l’école demandée, ou à défaut dans une autre école.
Certaines communes, pour satisfaire les administrés, formulent leur accord sans participation financière (cf. Formulaire de réponse aux demande...
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