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L'essentiel par l'éditeur
La gestion des fourrières animales intercommunales en France nécessite une déclaration d'activité en préfecture et le respect des normes sanitaires. Depuis 2023, les gestionnaires doivent être formés ou certifiés. La gestion peut être directe par l'EPCI ou externalisée via des concessions ou marchés publics, chaque option ayant ses avantages et inconvénients. L'externalisation permet de transférer les risques d'exploitation et d'assurer un service continu. Une analyse comparative des modes de gestion est essentielle pour optimiser le service.
Précisons en préambule que, quel que soit le type de gestion, la structure doit répondre aux mêmes exigences réglementaires que nous rappellerons brièvement ici.
La fourrière est un établissement qui doit faire l’objet d’une déclaration d’activité en préfecture et son activité est subordonnée à la mise en place et à l’utilisation d’installations conformes aux règles sanitaires et de protection animale.
Les fourrières sont par ailleurs soumises à la réglementation des installations classées pour la protection de l’environnement selon leur capacité d’hébergement de chiens.
Depuis le 1er janvier 2023, les gestionnaires de fourrière doivent justifier soit :
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Gouvernance intercommunale
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