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L'essentiel par l'éditeur
Depuis le décret n° 2018-387, les policiers municipaux ont un accès direct aux fichiers FNPC et SIV, facilitant l'identification des auteurs d'infractions routières. Cette avancée réduit la dépendance à la police nationale et à la gendarmerie, optimisant ainsi l'efficacité des interventions. Toutefois, l'accès aux fichiers FVV et FPR reste indirect. Les agents doivent être habilités par le préfet et respecter strictement les règles de confidentialité et d'usage professionnel.
Pour chaque traitement de données à caractère personnel, il y a lieu de se référer à l’arrêté ministériel ou au décret en Conseil d’État l’ayant créé pour vérifier si les agents de police municipale figurent dans la liste nominative des destinataires autorisés.
Jusqu’à la parution du décret n° 2018-387 du 24 mai 2018 , le seul moyen d’accéder aux informations contenues dans les fichiers était indirect, c’est-à-dire que les policiers municipaux et les gardes champêtres devaient appeler la police nationale ou la gendarmerie pour solliciter une interrogation des fichiers. Un accès direct aux fichiers de police (SNPC et SIV) a enfin été entériné dans ce décret du 24 mai 2018, après des années d’attente. Désormais, pour identifier l’auteur d’une infraction au Code de la route ,...
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Police municipale
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