Ministère des affaires sociales et de la santé
Direction générale de la santé
Sous-direction de la prévention des risques liés à l’environnement et à l’alimentation
Bureau de la qualité des eaux
Personne chargée du dossier :
M. Yannick Pavageau
tél : 0140567443
fax : 0140565056
mél : [email protected]
La ministre des affaires sociales et de la santé
à
Mesdames et messieurs les Préfets de région
Mesdames et messieurs les Directeurs Généraux des Agences régionales de santé
Copie :
Mesdames et Messieurs les préfets de département
INSTRUCTION N° DGS/EA4/2013/34 du 30 janvier 2013 relative au référentiel d'inspection-contrôle de la gestion des risques liés aux légionelles dans les installations d'eau des bâtiments
Date d’application : immédiate
NOR : AFSP1303032J
Classement thématique : santé environnementale
Validée par le CNP le 18 janvier 2013 - Visa CNP 2013-06
Catégorie : Directives adressées par le ministre aux services chargés de leur application, sous réserve, le cas échéant, de l’examen particulier des situations individuelles.
Résumé :
La présente circulaire fournit un référentiel d’inspection-contrôle de la gestion des risques liés aux légionelles dans les installations d’eau des bâtiments. Le référentiel définit les éléments de l’inspection-contrôle qu’exercent à ce sujet les Agences régionales de santé (ARS) dans les établissements de santé, les établissements médico-sociaux, notamment les établissements d’hébergement pour personnes âgées (EHPA), et les autres établissements recevant du public (ERP), notamment les hôtels et résidences de tourisme et les campings dont la fréquentation est reliée aux cas de légionellose qui leur sont déclarés. Il porte sur la mise en œuvre des dispositions prévues par la réglementation et des recommandations techniques publiées par le ministère chargé de la santé. Le référentiel est construit de telle sorte qu’il soit utilisable à la fois par les ARS et par les autres intervenants, notamment en autocontrôle par les établissements. La mise en œuvre de l’inspection-contrôle s’inscrit dans l’objectif de prévention de la légionellose, notamment dans les établissements où un ou plusieurs cas de légionellose ont déjà été signalés.
Mots-clés : inspection, légionelles, eau chaude sanitaire, établissements recevant du public, établissements de santé, personnes âgées, hôtels de tourisme, résidences de tourisme, campings, prévention, légionellose
Textes de référence :
Circulaire abrogée :
Circulaire modifiée : néant
Annexe :
Diffusion : néant
I. Contexte et enjeux
La légionellose est une infection pulmonaire sévère causée par l’inhalation de microgouttelettes d’eau contaminée par les bactéries Legionella pneumophila ou d’autres espèces de légionelles pathogènes. Près de 1200 cas de légionellose sont déclarés chaque année aux Agences régionales de santé (ARS). En 2011, plus de 98% des cas de légionellose ont été hospitalisés, dont au moins 40% en service de réanimation et près de 11 % de ces personnes sont décédées.
Pour tout cas qui leur est déclaré, les ARS procèdent à une enquête épidémiologique et environnementale, qui permet notamment d’identifier les lieux fréquentés par les patients dans la période des quelques jours précédant l’apparition des signes cliniques. L’enjeu de cette phase de l’enquête est triple, il s’agit de :
Les enquêtes conduites par les ARS sont des actions qui nécessitent l’investissement constant et les compétences des personnels de génie sanitaire et de santé publique. L’intérêt sociétal de ces missions au regard des enjeux de protection de la santé publique et de reconnaissance des responsabilités doit être souligné. En outre, il faut saluer et soutenir la participation active des soignants et laboratoires hospitaliers qui fournissent des souches cliniques au Centre national de référence des légionelles (CNR-L), s’agissant là d’un élément clé de l’amélioration des connaissances épidémiologiques et de l’efficience des enquêtes engagées : en 2011, pour 22,5% des cas de légionellose une souche clinique avait été isolée (ce taux a été de 18,3% sur la période 2009-2010, données de l’Institut de veille sanitaire) et analysée par le CNR-L pour comparaison avec les souches environnementales. On notera par exemple qu’un jugement de condamnation d’une entreprise a été rendu en septembre 2012 par le tribunal correctionnel de Paris dans une affaire de légionellose sur la base d’un rapport d’enquête épidémiologique produit par les autorités sanitaires dont les conclusions portaient notamment sur la comparaison de plusieurs souches cliniques et environnementales.
Les légionelles se retrouvent dans les milieux hydriques naturels et prolifèrent dans certaines installations anthropiques comme les systèmes d’eau des bâtiments, notamment les réseaux d’eau des établissements de santé, des établissements d’hébergement pour personnes âgées, des hôtels et résidences de tourisme, des campings et des autres établissements recevant du public (ERP) où la surveillance des légionelles a été rendue obligatoire par arrêté du 1er février 2010. En 2011, des résultats encourageants ont été observés : le nombre de cas de légionellose potentiellement associé à la fréquentation des établissements de santé ou des établissements de tourisme a été plus faible que pendant les six années précédentes. Néanmoins, le nombre de cas concernés reste plus élevé que dans d’autres pays européens (données du Centre européen de prévention et de contrôle des maladies, ECDC) et justifie un haut niveau de prévention et de contrôle dans ces établissements.
En outre, j’appelle votre attention sur l’objectif de prévenir la survenue de cas groupés dans les établissements de tourisme : sur la période 2006-2011, près d’une centaine d’établissements de tourisme situés en France ont été reliés à la survenue de cas de légionellose groupés français ou étrangers. Il importe que dès le premier signalement sanitaire porté à la connaissance de l’ARS, toutes les mesures appropriées soient prises dans les champs de l’information et du contrôle, afin de prévenir dans le cadre de la gestion de l’alerte mais aussi dans le cadre d’une gestion du risque pérenne, la survenue de tout autre cas. A cet effet, un guide d’information pour les gestionnaires des établissements a été annexé à la circulaire DGS/EA4 2010-448 du 21 décembre 2010 relative aux missions des ARS dans la mise en œuvre de l’arrêté du 1er février 2010.
En outre, le guide revient sur les points suivants :
II. Objectifs du référentiel d’inspection-contrôle
La publication de ce référentiel répond à trois objectifs :
III. Modalités d’utilisation
Le document proposé comprend sept chapitres et une annexe :
Annexe – Textes de référence
En fonction du contexte et des objectifs de chaque inspection-contrôle, ainsi que des moyens dont elles disposent à cet effet, les ARS pourront utiliser tout ou partie du document, en organisant l'inspection-contrôle selon les modalités qu'elles auront établies, s'agissant notamment du choix et de l'ordre des items examinés.
Vous voudrez bien me faire part, sous le présent timbre, des éventuelles difficultés rencontrées dans la mise en œuvre de ces missions.
Pour la ministre et par délégation,
J.Y. GRALL
Directeur général de la santé
Annexe
MINISTERE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTE
Direction générale de la Santé
Référentiel d’inspection-contrôle de la gestion des risques liés aux légionelles dans les installations d’eau des bâtiments
TABLE DES MATIERES
1 - CARACTERISTIQUES DE LA MISSION D’INSPECTION-CONTROLE
2 - CONTROLE DE LA MISE EN ŒUVRE DE L’ARRETE DU 1er FEVRIER 2010 RELATIF A LA SURVEILLANCE DES LEGIONELLES DANS LES INSTALLATIONS D’EAU CHAUDE SANITAIRE (ECS)
3 - EVALUATION DE LA QUALITE DU SUIVI ET DES DEFAILLANCES DES INSTALLATIONS D’ECS
3a - ELEMENTS CONTROLES LORS DE LA VISITE IN-SITU DES LOCAUX DE PRODUCTION D’ECS
3b - ELEMENTS CONTROLES LORS DE LA VISITE IN-SITU DES LIEUX D’USAGE DE L’EAU
4 - EXAMEN DE LA PRISE EN CHARGE DES CAS DE LEGIONELLOSE ET DE LA GESTION DU RISQUE LIE AUX LEGIONELLES DANS LES ETABLISSEMENTS DE SANTE OU D’HEBERGEMENT POUR PERSONNES AGEES
5 - CONTROLE SANITAIRE DES BAINS A REMOUS (SPA) A USAGE COLLECTIF ET RECEVANT DU PUBLIC
6 - ELEMENTS DESCRIPTIFS DES FONTAINES DECORATIVES ET DES SYSTEMES COLLECTIFS DE BRUMISATION
7 - FICHE RECAPITULATIVE DES ITEMS A RENSEIGNER SYSTEMATIQUEMENT PAR l’ARS DANS SISE-ERP ANNEXE - TEXTES DE REFERENCE
1 CARACTERISTIQUES DE LA MISSION D’INSPECTION-CONTROLE
1.1 Identification de l’établissement :
Nom de l'établissement : ____________________________________________________
Adresse du site contrôlé : ___________________________________________ Code Postal : __________ Commune : __________________
Fermeture au public supérieure à 6 semaines consécutives dans l’année
Saisonnalité : _____________________________
1.2 Nature de l'établissement :
1.3 Bilan des cas de légionellose probables ou certains reliés à la fréquentation de l’établissement
1.4 Date de l’inspection-contrôle : ________________
1.5 Représentants de l’ARS dans l’équipe d'inspection
1.6 Expert extérieur à l’ARS ayant participé à l’équipe d’inspection
1.7 Personnes-contacts de l’établissement inspecté (direction, responsable des services techniques, équipe d’hygiène, etc.)
1.8 Documents remis à l’ARS dans le cadre de l’inspection-contrôle
1.9 Combien de bâtiments comporte le site de l’établissement contrôlé ? _______________
1.10 Sur quels bâtiments porte l’inspection-contrôle de l’établissement ?
Si l’inspection-contrôle porte sur plusieurs bâtiments, il est utile de disposer d’un plan de masse général de l’établissement.
1.11 Installations à risque d’exposition aux légionelles exploitées sur le site de l’établissement (indiquez une estimation du nombre d’entités)
2 CONTROLE DE LA MISE EN ŒUVRE DE L’ARRETE DU 1er FEVRIER 2010 RELATIF A LA SURVEILLANCE DES LEGIONELLES DANS LES INSTALLATIONS D’EAU CHAUDE SANITAIRE (ECS)
2.1 Surveillance de la température de l’eau - Modalités
2.2 Surveillance de la température de l’eau - Résultats
2.3 Surveillance des légionelles, s’agissant notamment des établissements de santé et des EHPA - Modalités
2.4 Prélèvements d’eau pour analyses de légionelles
2.5 Stratégie de surveillance des légionelles et résultats
Pour chacun des réseaux d’ECS centralisés, précisez l’année concernée par la dernière campagne d’analyses (il doit s’agir de l’année en cours, ou à défaut de l’année qui précède), combien de prélèvements d’eau (PLV) pour analyses de légionelles ont été réalisés et le dénombrement en Legionella pneumophila (Lp) en UFC/L maximum mesuré (LpMax).
2.6 Bilan sur les résultats de la dernière campagne d’analyses de légionelles, au niveau des points d’usage à risque
Pour rappel, les objectifs cibles réglementaires à ne pas dépasser en Lp aux points d’usages à risque sont :
2.7 S’agissant des mesures correctives nécessaires au rétablissement de la qualité de l’eau et à la protection des usagers, prises à l’issue d’un dépassement, aux points d’usage à risque, des objectifs cibles en Lp (lors de la dernière campagne d’analyse concernée)
2.8 Pour rappel, les opérations curatives par choc thermique ou chimique ne devraient intervenir que si la situation présente un degré de gravité évalué selon les 3 points suivants :
Dans cette situation qui doit rester exceptionnelle :
2.9 Protection du personnel
L’établissement doit être en mesure de fournir à l’équipe d’inspection de l’ARS les éléments suivants :
3 EVALUATION DE LA QUALITE DU SUIVI ET DES DEFAILLANCES DES INSTALLATIONS D’ECS
Précisez l’unité de distribution d’eau potable (UDI) de la commune où est situé l’établissement : __________________________________
Précisez le type d’eau potable (eau en bouteille, etc.) distribué au restaurant de l’établissement ou dans les chambres : ___________________
3.1 L’alimentation en eau froide de l’établissement est-elle raccordée ?
Au réseau public d’alimentation en eau potable - Précisez le nombre de branchements : _
A une autre ressource en eau : ____________
3.2 La production d'ECS est-elle ?
3.3 En présence de réseau d’eau primaire utilisé pour la production d’ECS, est-il fourni par :
3.4 Existe-t-il des réseaux intérieurs de distribution d’eau spécifiques à usage technique ?
3.5 Existe-t-il pour les installations d’ECS un fichier technique et sanitaire (complet ou partiel) ?
Précisez le lieu de consultation du fichier technique et sanitaire et son responsable : __________________________________________
3.6 Quelle est l’ancienneté de la réception de l’ensemble des installations de production, de stockage et de distribution d’ECS ?
avant le 15 décembre 2006
après le 15 décembre 2006 (auquel cas toutes les dispositions de l’arrêté du 30 novembre 2005 modifiant l’article 36 de l’arrêté du 23 juin
1978 relatif aux installations fixes destinées au chauffage et à l’alimentation en ECS des bâtiments d’habitation, de travail ou locaux recevant du public sont opposables). Précisez les dates, s’agissant notamment de la production d’ECS : ______________________________________
pour partie avant le 15 décembre 2006 et pour partie après, précisez : ________________________________________________________
3.7 Mode de production d’ECS
3.8 Matériaux constitutifs des canalisations du réseau d’eau froide
3.9 Matériaux constitutifs des canalisations du réseau d’ECS
3.10 Caractéristiques complémentaires des réseaux d’ECS
3.11 Conformité au regard des dispositions techniques pour la mise en œuvre de la protection des réseaux d’eau contre les retours d’eau
3.12 Expertise technique et sanitaire des installations de production, de stockage et de distribution d’ECS (prévue par la réglementation pour les établissements de santé et les EHPA dès lors que les réseaux d’eau sont contaminés par les légionelles)
3.13 Maintenance et entretien des installations d’ECS
3.14 Lutte contre la stagnation de l’eau
L’établissement doit être en mesure de fournir à l’équipe d’inspection de l’ARS les éléments suivants :
et lorsqu’une expertise technique et sanitaire (elle n’a aucun caractère réglementaire ou obligatoire, sauf dans certaines situations des EHPA et des établissements de santé) des installations d’ECS a été réalisée :
3a. ELEMENTS CONTROLES LORS DE LA VISITE IN-SITU DES LOCAUX DE PRODUCTION D’ECS
3b. ELEMENTS CONTROLES LORS DE LA VISITE IN-SITU DES LIEUX D’USAGE DE L’EAU
Le contrôle porte notamment sur la mise en œuvre de l’arrêté du 30 novembre 2005 modifiant l’arrêté du 23 juin 1978 relatif aux installations fixes destinées au chauffage et à l’alimentation en eau chaude sanitaire des bâtiments d’habitation, des locaux de travail ou des locaux recevant du public.
4. EXAMEN DE LA PRISE EN CHARGE DES CAS DE LEGIONELLOSE ET DE LA GESTION DU RISQUE LIE AUX
LEGIONELLES DANS LES ETABLISSEMENTS DE SANTE OU D’HEBERGEMENT POUR PERSONNES AGEES
4.1 Bilan récapitulatif des cas de légionellose ayant séjourné dans l’établissement (cas nosocomiaux des établissements de santé notamment)
Si les sources de contamination liées à ces cas de légionellose ont été identifiées, précisez-les :
__________________________________________________________________________________________________________________
__________________________________________________________________________________________________________________
4.2 Prise en charge des cas de légionellose dans les établissements de santé
1 L’origine nosocomiale peut être considérée comme certaine si le malade a séjourné dans un établissement de santé pendant la totalité de la période supposée d’exposition.
2 L’origine nosocomiale peut être considérée comme probable si le malade a séjourné dans un établissement de santé au moins 1 jour de la période supposée d’exposition.
4.3 Sécurisation des installations d’ECS vis-à-vis de l’exposition aux légionelles des patients particulièrement vulnérables au risque de légionellose (patients à haut risque)
3 Les patients dits « patients à haut risque » sont les immunodéprimés sévères, et particulièrement ceux après transplantation ou greffe d'organe et ceux par corticothérapie prolongée (0,5 mg/kg de prednisone pendant 30 jours ou plus, ou équivalent) ou récente et à haute dose (supérieure à 5 mg/kg de prednisone pendant plus de 5 jours).
4.4 Au sujet des protocoles de prévention de la légionellose établis au sein de l’établissement
L’établissement doit être en mesure de fournir à l’équipe d’inspection de l’ARS les éléments suivants :
5. CONTROLE SANITAIRE DES BAINS A REMOUS (SPA) A USAGE COLLECTIF ET RECEVANT DU PUBLIC4
5.1 Données d’ordre général
5.2 Auto-surveillance exercée par l’établissement
4 Les critères de conformité mentionnés ici valent pour l’ensemble des ERP à l’exception des bains à remous à usage exclusivement médical, ceux-ci n’entrant pas dans le champ d’application de la réglementation des piscines.
5.3 Information du public
5.4 Application des règles générales d’exploitation au titre de la réglementation des « piscines »
5.5 Recyclage de l’eau
5.6 Filtration de l’eau
5.7 Désinfection de l’eau
5.8 Vidange périodique
5.9 Aération de l’eau
5.10 Equipements sanitaires
6 ELEMENTS DESCRIPTIFS
DES FONTAINES DECORATIVES ET
DES SYSTEMES COLLECTIFS DE BRUMISATION
7 FICHE RECAPITULATIVE DES ITEMS A RENSEIGNER SYSTEMATIQUEMENT PAR l’ARS DANS SISE-ERP
1.1 Identification de l’établissement :
Nom de l'établissement : ____________________________________________________
Adresse du site contrôlé : ___________________________________________ Code Postal : __________ Commune : ____________
Fermeture au public supérieure à 6 semaines consécutives dans l’année
- Saisonnalité : _____________________________
1.2 Nature de l'établissement :
1.3 Bilan des cas de légionellose probables ou certains reliés à la fréquentation de l’établissement
1.4 Date de l’inspection-contrôle : ________________
1.11 Installations à risque d’exposition aux légionelles exploitées sur le site de l’établissement (indiquez une estimation du nombre d’entités)
CONTROLE DE LA MISE EN ŒUVRE DE L’ARRETE DU 1er FEVRIER 2010
EVALUATION DE LA QUALITE DU SUIVI ET DES DEFAILLANCES DES INSTALLATIONS D’ECS
3.1 L’alimentation en eau froide de l’établissement est-elle raccordée ?
Au réseau public d’alimentation en eau potable - Précisez le nombre de branchements
A une autre ressource en eau : ___________________
3.2 La production d'ECS est-elle ?
3.5 Existe-t-il pour les installations d’ECS un fichier technique et sanitaire (complet ou partiel) ?
Précisez le lieu de consultation du fichier technique et sanitaire et son responsable :
S’agissant des établissements de santé
ANNEXE
TEXTES DE REFERENCE
Informations sur ce texte
NOR : AFSP1303032J
Nature :
Date : 30/01/2013