Selon la CPU, la mise en place d’une licence de santé serait une réelle innovation, rendue nécessaire par « les nouvelles organisations du système de soins et la création de nouveaux métiers intermédiaires ». En effet, les étudiants ont besoin d’une organisation pédagogique adaptée qui les fasse « passer d’une orientation subie à une orientation progressive ».
Cette formation permettrait en effet d’accueillir tous les étudiants destinés aux formations de santé (médecine, pharmacie, odontologie, maïeutique, paramédicaux à l’exception de la formation infirmière) en les orientant progressivement vers les différentes formations et les différents métiers de la santé, dans l’esprit du parcours universitaire classique, dit licence-master-doctorat (LMD).