Par un arrêté du 5 août 2020, publié au JO du 7 août 2020, le ministre des Solidarités et de la Santé et la ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation fixent à 8 286 le nombre de postes d’internes susceptibles d’être ouverts, à l’issue des épreuves classantes nationales en médecine, au titre de l’année universitaire 2020-2021. Ces postes sont répartis par spécialité et par centre hospitalier universitaire (CHU) selon les tableaux figurant en annexe de l’arrêté.
Voici la répartition des postes par CHU :
- Martinique/Pointe-à-Pitre : 157 postes,
- Clermont-Ferrand : 213 postes,
- Grenoble : 227 postes,
- Hospices civils de Lyon : 386 postes,
- Saint-Étienne : 168 postes,
- Besançon : 201 postes,
- Dijon : 235 postes,
- Brest : 207 postes,
- Rennes : 249 postes,
- Tours : 253 postes,
- Nancy : 317 postes,
- Reims : 203 postes,
- Strasbourg : 276 postes,
- Amiens : 226 postes,
- Lille : 514 postes,
- Assistance publique-Hôpitaux de Paris : 1 414 postes,
- Caen : 229 postes,
- Rouen : 277 postes,
- Bordeaux : 361 postes,
- Limoges : 134 postes,
- Poitiers : 242 postes,
- Montpellier-Nîmes : 307 postes,
- Toulouse : 328 postes,
- La Réunion : 118 postes,
- Angers : 235 postes,
- Nantes : 250 postes,
- Assistance publique-Hôpitaux de Marseille : 402 postes,
- Nice : 157 postes.
Les postes ouverts se répartissent en 28 subdivisions et 44 spécialités. Avec 3 177 postes, la médecine générale demeure la spécialité la plus dotée. 863 postes sont ouverts pour les disciplines chirurgicales, dont 208 en gynécologie-obstétrique et 148 en ophtalmologie. 527 postes sont ouverts en psychiatrie, 471 en médecine d’urgence et 468 en anesthésie-réanimation.
Parallèlement, l’arrêté fixe à 290, dont 256 en médecine générale, le nombre d’étudiants en médecine, signataires d’un contrat d’engagement de service public, susceptibles d’être affectés en 2020-2021, à l’issue des épreuves classantes nationales en médecine.