![[ép. 218] Intelligence artificielle et achat public : solutions, risques, perspectives](https://www.weka.fr/actualite/wp-content/uploads/2025/01/ep-218-intelligence-artificielle-et-achat-public-solutions-risques-perspectives-300x161.png)
![[ép. 217] Budgets verts : de quoi parle-t-on vraiment ?](https://www.weka.fr/actualite/wp-content/uploads/2025/01/ep-217-budgets-verts-de-quoi-parle-t-on-vraiment-300x161.png)
![[ép. 216] Commande publique : eForms, mode d’emploi](https://www.weka.fr/actualite/wp-content/uploads/2025/01/ep-216-commande-publique-eforms-mode-d-emploi-300x161.png)
Travail à distance
Une courte tribune d’Olivier Babeau, président de l’Institut Sapiens, dans Les Échos au titre révélateur « Pourquoi je ne rentrerai pas au bureau ».
Pourquoi je ne rentrerai pas au bureau, Les Échos
Mixité professionnelle et égalité femme-homme
Pour Patrick Banon, écrivain, chercheur spécialisé en systèmes de pensée et diversité culturelle, sur le site « Les femmes de l’Économie », la période de crise sanitaire, que nous avons traversée, et la période actuelle représentent une réelle menace pour nos fragiles avancées en matière de mixité professionnelle et d’égalité femme-homme.
Division sexuée du travail : tarir à la source les inégalités professionnelles, Les Femmes de l’Économie
Management
Sur The Conversation, un article sur un essai intitulé « The stupidity paradox » dans lequel les professeurs Mats Alvesson et André Spicer mettent en garde les managers des institutions bureaucratiques qui ne laissent aucune place à l’expression de l’intelligence humaine. À cet égard, ils parlent d’un phénomène de « stupidité fonctionnelle ». Au cœur de leur paradoxe, ils dénoncent l’affectation des salariés les plus compétents aux tâches les plus stupides.
« Le manager malgré lui » : quand Molière éclaire la bêtise organisationnelle, The Conversation
Organisations
Sur le même site, un article nous ramène à un triste constat, par nature, les organisations seraient des systèmes qui cherchent à toujours appliquer les mêmes routines, à reproduire les mêmes recettes de succès et à parfaire les mêmes procédures. Ce que désire avant tout une organisation, c’est faire son métier ; ce que veut avant tout chacune des fonctions qui la composent, c’est fonctionner. Cette inertie serait-elle l’obstacle au « monde d’après » ?
L’inertie des organisations, obstacle au « monde d’après », The Conversation
Bonne lecture
