La Cour des comptes fait remarquer dans son rapport que les assistants d’éducation (AED) ne sont pas rémunérés sur des crédits de titre 2 et, par ailleurs, ne relèvent d’aucun plafond d’emploi. Ces dépenses de subvention versées aux EPLE pour leur rémunération relèvent des dépenses d’intervention (titre 6).
La Cour des comptes estime que les dépenses du ministère de l’Éducation nationale « sont pourtant loin d’être négligeables ». Aussi, recommande-t-elle d’instaurer « un plafond spécifique » pour les emplois d’assistants d’éducation.
Pour en savoir plus :
- Rapport de la Cour des comptes « Résultats et gestion budgétaire de l’État exercice 2012 »