Les syndicats réunis au sein de l’intersyndicale – FSU, UNSA Éducation, FNEC-FP-FO, Sgen-CFDT, CGT Éduc’action, SNALC et SUD Éducation – « appellent à une journée d’actions interprofessionnelles sur l’ensemble du territoire le 16 février », ont-ils souligné dans un communiqué.
« Si malgré tout le Gouvernement et les parlementaires restaient sourds à la contestation populaire, dans le cadre de l’appel interprofessionnel à durcir le mouvement et à mettre la France à l’arrêt dans tous les secteurs le 7 mars prochain, l’intersyndicale de l’éducation appelle à ce que les grèves massives permettent de fermer totalement les écoles, collèges, lycées et services », a ajouté celle-ci, se disant « prête à durcir le mouvement ».
« Le 7 mars, mettons les écoles, établissements et services à l’arrêt ! », a-t-elle martelé.
L’intersyndicale a aussi appelé les personnels « à se mobiliser le 8 mars, journée internationale de luttes pour les droits des femmes, pour dénoncer l’injustice sociale majeure de cette réforme des retraites envers les femmes ».
Les huit principaux syndicats français ont appelé à une cinquième journée d’action jeudi 16 février 2023 et annoncé qu’ils appelleraient les travailleurs à « mettre la France à l’arrêt dans tous les secteurs » le 7 mars 2023, si le Gouvernement et les parlementaires « restaient sourds à la contestation populaire ».
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