C’est un coup dur pour le gouvernement, et ce à plusieurs titres. D’abord, le maintien de cette niche fiscale va coûter à l’État 435 millions d’euros. Cette « économie » était destinée à financer des places de bourses supplémentaires dans l’enseignement supérieur.
Ensuite, sur un plan plus politique, le ministre du Budget Bernard Cazeneuve critique le fait que « les niches fiscales obèrent la progressivité de l’impôt sur le revenu ».