La Fnaseph souhaite cet appel le plus large possible, en mobilisant les familles, les services de l’État, les professionnels et les élus concernés. La fédération espère ainsi qu’à partir d’un état des lieux des « bonnes pratiques », il puisse être élaboré une liste de recommandations concrètes pour « un parcours de scolarisation et de formation réussi du jeune handicapé ».
Au-delà, elle souhaite qu’un véritable métier d’accompagnant, pérenne, puisse voir le jour. Elle constate en effet que sur 60 000 élèves handicapés nécessitant un accompagnement, près de 5 000 d’entre eux ne bénéficient pas à l’heure actuelle d’un auxiliaire de vie scolaire (AVS).