Selon elle, la santé de l’enfant doit primer sur les intérêts des adultes. Elle met ainsi en avant les conséquences de mauvais rythmes de vie à l’école : fatigue, problèmes de concentration et d’apprentissage, irritabilité et agressivité… Elle avait d’ailleurs tenu le même discours dans un rapport intitulé « Aménagement du temps scolaire et santé de l’enfant » publié en 2010.
Elle estime qu’il faut « dépasser la polémique autour de la seule semaine de quatre jours » et considérer le « temps de vie de l’enfant ». Pour cela, tous les paramètres doivent faire l’objet d’une attention particulière : journée, semaine, année scolaire/grandes vacances.