Reconnaissant que le travail avait déjà été entamé sous le ministère précédent, il est envisagé d’aller plus loin car « des efforts plus significatifs s’imposent ».
Entre autres sujets, le ministère va plancher sur les axes suivants :
- créer les conditions d’une véritable médecine de prévention,
- donner du sens à la réforme des CHSCT,
- développer les outils de prévention,
- prévenir les risques psychosociaux et les troubles musculo-squelettiques (TMS).
Dans ce cadre, en CHSCT ministériel, il a été rappelé que les académies devaient être attentives à donner « les moyens nécessaires » à la médecine de prévention pour accomplir ces missions (les académies de Besançon, la Corse, Limoges et la Martinique n’en ont toujours pas).