Ces édiles, dont le porte-parole est le nouveau maire UMP de Valence, Nicolas Daragon, représentent principalement des communes drômoises mais aussi quelques localités ardéchoises comme Tournon-sur-Rhône. Selon eux, la réforme des rythmes scolaires « prend en otage les parents, les enseignants et les élus sans pour autant apporter d’amélioration au bien-être de l’enfant ».
Parmi les « difficultés rencontrées » pour sa mise en œuvre, les élus citent notamment « l’incapacité à obtenir un consensus sur l’horaire hebdomadaire« , le recrutement des encadrants, le manque de locaux ou encore « le coût financier exorbitant pour les communes, donc pour les contribuables ou les parents ». Ils annoncent qu’ils vont tous présenter une délibération à leur prochain conseil municipal « pour demander le report de la réforme à la rentrée 2015, voire son abrogation ».
Les maires font toutefois part de leur intention de « mettre en place un service minimum de garderie à la rentrée afin de ne pas laisser les parents sans solution de garde ».
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Retour sur l’expérimentation de la semaine de 4,5 jours qui débute à l’école Sanquer en septembre 2009. Elle concerne 7 classes, soient 170 élèves.