Rappelez-vous que la réalisation d’activités courtes, régulières et sources de plaisir pour la personne peut constituer une action préventive.
Les troubles psycho-comportementaux dans la démence de type Alzheimer
Les troubles psycho-comportementaux dans la démence de type Alzheimer
Les troubles affectifs et émotionnels
L’anxiété
Aux stades débutants, et parfois même avant que la maladie ne soit diagnostiquée, les troubles anxieux peuvent constituer une réaction de la personne face à la conscience de ses troubles cognitifs et de son retentissement dans la vie quotidienne ainsi que de la perte de ses repères habituels.
Cette prise de conscience du caractère anormal des symptômes peut être ancienne, minutieusement dissimulée à l’entourage.
Chez certaines personnes, il existait déjà un tempérament anxieux, qui va simplement s’exprimer différemment du fait de la maladie.
À un stade plus évolué, l’anxiété, que le malade ne réussit plus à verbaliser, pourra se manifester à travers des préoccupations concernant :
- le corps (d’allure hypocondriaque) : les malades se plaignent d’une kyrielle de symptômes corporels, digestifs, urinaires, douloureux, diffus ou localisés ;
- la voie motrice (déambulation, fugues, agitation, agressivité).
Des manifestations phobiques d’apparition récente, telles que l’agoraphobie (peur des espaces publics) ou les phobies de la marche, sont rarement exprimées comme telles par les malades. Le plus souvent, ces symptômes sont attribués à des troubles visuels, à des douleurs rhumatismales, à un sentiment global d’insécurité ou encore à la conjonction de ces différents facteurs…
Quelques conseils simples
- Il existe plusieurs causes sous-jacentes à l’état d’anxiété. Dans tous les cas, ces comportements nécessitent avant tout une écoute.
- Éviter tout changement brutal dans les habitudes de vie.
- En cas de modification, essayer d’expliquer le plus clairement possible qui vous êtes et armez-vous de patience s’il faut recommencer plusieurs fois.
- Ne pas donner de consignes trop complexes.
- Aménager autant que possible un environnement apaisant.
- Ne pas hésiter à proposer des activités à caractère artistique ou ludique.
La dépression
Des symptômes dépressifs (tristesse permanente, perte durable de tout intérêt, pleurs, sentiment de dévalorisation, idées noires, pessimisme…) sont fréquemment observés au cours de la démence de type Alzheimer.
Lors des phases débutantes de la maladie, ils masquent souvent les troubles de mémoire ou en rendent l’interprétation difficile par le médecin traitant.
Dans la majorité des cas, les symptômes de la dépression accompagnant la démence de type Alzheimer sont provisoires et fluctuent en intensité, d’un jour à l’autre.
Néanmoins, la permanence de symptômes dépressifs durant plusieurs semaines peut être observée et doit conduire à l’adoption de stratégies antidépressives spécifiques.
Contrairement aux idées reçues, les idéations suicidaires ne sont pas rares et doivent être systématiquement recherchées, notamment dans les premiers stades de la maladie.
Quelques conseils simples
- Ne pas oublier d’encourager et de valoriser autant que possible la personne.
- Respecter l’envie de la personne d’être seule.
- Ne pas tenter de stimuler la personne à tout prix.
- Laisser la personne s’exprimer et l’écouter.
- Ne pas banaliser.
L’apathie
Ce mot désigne une absence d’activité et de réaction. L’émoussement des émotions rencontré chez une personne atteinte d’une démence de type Alzheimer – voire son apparente indifférence affective – peut être différencié de la douleur morale intense et pénible qui caractérise la véritable dépression. Le déprimé n’a plus envie de rien, aucun projet ne le stimule ; l’existence a perdu toute sa valeur et tout sens, l’anticipation est impossible ; le temps est comme figé, l’action paralysée.
Chez la personne atteinte de la démence de type Alzheimer, l’apathie se réduit fréquemment à sa composante de perte totale d’initiative motrice. L’intense douleur morale dépressive fait place, chez le dément, à un appauvrissement du registre émotionnel, s’accompagnant parfois d’une certaine perplexité lorsque son entourage lui en adresse le reproche !
L’apathie peut être levée, au moins transitoirement, par une stimulation intensive d’une équipe soignante. Malheureusement, ce trouble tend à s’aggraver inexorablement avec l’évolution de la maladie.
D’autres symptômes, sources de gêne dans la vie quotidienne, résultent directement ou non de l’apathie. C’est le cas du désinvestissement des soins quotidiens apportés à sa propre personne (appelé incurie) qui se traduit, par exemple, par un défaut d’hygiène corporelle ou vestimentaire, une alimentation anarchique, le non-respect de règles médicales élémentaires précédemment établies…
Quelques conseils simples
- Ne pas hésiter à solliciter la personne pour agir.
- Inciter la personne à entreprendre une activité et veiller à ce qu’elle la maintienne le temps suffisant pour en retirer une satisfaction.
- Ne pas blâmer la personne pour « sa paresse ».
L’agitation, la déambulation et les comportements agressifs
L’agitation
L’agitation se définit comme l’inadaptation d’une activité verbale ou motrice. Elle revêt plusieurs formes :
- agitation verbale (injures, cris) ;
- agitation physique non agressive ;
- agitation agressive (coups…).
Les déambulations et les fugues peuvent aussi entrer dans ce cadre de l’agitation.
C’est un symptôme extrêmement fréquent. Elle répond à des causes multiples (physiques, médicamenteuses) liées aux caractéristiques de l’environnement (domicile, maison de retraite, hôpital…), de la qualité du soutien et des interactions avec la famille ou l’équipe soignante.
Une agitation motrice peut être due à une incapacité à rester immobile ou secondaire à une prescription de traitements neuroleptiques classiques souvent mal tolérés.
Elle peut également traduire une douleur d’origine diverse (difficultés à uriner, sub-occlusion intestinale ponctuant une constipation chronique, infection génitale, affection dermatologique…).
Fréquemment, dans la démence de type Alzheimer, l’agitation répond à des causes psychiques. Elle exprime un appel ou une protestation destinée par exemple à une famille jugée trop peu présente ou à une équipe soignante insuffisamment à l’écoute, débordée voire, dans certains cas, maltraitante.
Quelques conseils simples
Quand l’agitation se manifeste, essayez de comprendre ce qui pourrait l’avoir déclenchée (état de malaise physique, modification de l’environnement, sentiment de frustration ressenti par le malade, réaction à votre agressivité, bruits divers, sentiment d’échec à la réalisation de certaines activités de la vie quotidienne…).
La déambulation
Dans ce type de pathologie, il est possible et assez fréquent qu’un comportement de déambulation apparaisse : la personne va marcher de manière répétée au cours de la journée ou de la nuit.
Ce comportement peut être en lien avec sa désorientation dans le temps (par exemple, une résidente déambule car elle cherche l’école de ses enfants pour aller les récupérer) ou dans l’espace (la personne n’a pas conscience qu’elle se trouve dans l’EHPAD et va donc chercher à repartir chez elle).
Ce comportement peut avoir un but :
- quête de relation et d’échange, de présence ;
- recherche d’un endroit ou d’une personne aimée et sécurisante afin de lutter contre un possible sentiment interne d’insécurité, d’anxiété ;
- tentative d’autostimulation et palliatif de l’ennui ;
- fuite face à une perception incertaine de l’environnement ;
- quête de repères via l’exploration d’un « nouvel » environnement ;
- envie de rentrer à son domicile ;
- tentative de lutter contre un sentiment de vide.
Quelques conseils simples
- Il s’agit souvent d’un moyen d’exprimer un vécu que la personne ne peut communiquer par une autre voie. Si le comportement ne lui porte pas préjudice, il faut le laisser faire, d’autant que cela est bénéfique pour sa santé – tout en prenant garde cependant que ces déambulations, par leur caractère excessif, ne portent pas atteinte à sa santé (fatigue confinant à l’épuisement…).
- Il faut favoriser les marches à pied à l’extérieur si cela est possible.
- Pour prévenir et/ou atténuer les troubles du comportement lors de la déambulation, l’espace doit être large et sécurisé. Il faut éviter les couloirs se terminant en culs-de-sac qui sont angoissants. Un espace de déambulation en « boucle », passant par le lieu de vie central et s’ouvrant sur un jardin ou une cour intérieure peut être constitué.
Les comportements agressifs
L’agressivité augmente avec l’avancée dans la pathologie et peut se manifester de différentes formes, depuis la simple opposition ou irritabilité jusqu’aux agressions verbales (injures, cris, prières, menaces de représailles, explosions de colère et de rage…) et physiques (opposition, coups, taper, se frotter les mains, s’habiller, se déshabiller, pincements, morsures, coups de pied, gifles…).
Quel qu’en soit le registre, l’effet de ces comportements s’avère dévastateur sur l’entourage car il donne à celui-ci la mesure des effets de la maladie sur la personnalité intime du malade : « il (elle) est méconnaissable ».
Parfois, l’agressivité peut être mise en relation avec les griefs, les frustrations installées tout au long de son existence entre le malade et sa famille. Son impact sur la dynamique familiale peut alors relever d’une approche thérapeutique familiale spécifique.
De façon générale, les comportements agressifs sont volontiers observés chez des personnes qui méconnaissent totalement leurs troubles (anosognosie) et ne comprennent pas certaines limitations de leurs activités habituelles par l’entourage.
Quelques conseils simples
- De la même manière que pour les autres troubles du comportement, la démarche consiste à essayer de repérer l’origine de cette agressivité. Il est important d’observer quel peut être l’élément déclenchant de ce comportement : y a-t-il eu des modifications de l’environnement ; quelles en sont les périodes de la journée ; quelles sont les attitudes qui déclenchent, aggravent, ou calment cette agressivité ; y a-t-il un rapport avec le vécu de la personne ; la personne ressent-elle un éventuel désordre somatique ; avez-vous été vous-même agressif avec lui (ou du moins le malade l’aurait-il ainsi perçu) ; a-t-il mal supporté certains médicaments ? Si aucun de ces éléments ne paraît être en cause, il faut se rappeler que les troubles cognitifs empêchent le résident d’analyser son environnement de manière adaptée.
- La réponse à l’agressivité par l’agressivité n’apaisera pas le résident et il est possible que cela accentue son malaise. Il sera probablement difficile pour le soignant, dans ces moments, de rester calme, mais cette attitude est la plus adaptée.
- Garder son calme, sans hausser le ton, malgré les cris ou les reproches.
- Être rassurant, entrer en contact physique calmement et sans intrusion.
- Ne pas se laisser envahir par ses émotions, même en cas d’insultes ou d’agression.
- Veiller à sa propre sécurité et ne pas laisser la situation s’envenimer.
- Ne pas culpabiliser, même si le comportement paraît intolérable.
- En cas de violence extrême, le recours aux médicaments est conseillé.
Les troubles psychotiques
On regroupe sous ce terme les idées délirantes, les phénomènes hallucinatoires et les troubles des identifications.
Le plus souvent, ces symptômes apparaissent tardivement au cours de l’évolution de la démence de type Alzheimer. Ils génèrent le désarroi le plus intense auprès des aidants.
Les idées délirantes
Les thèmes de persécutions, de jalousie ou de préjudices subissont parmi les plus récurrents. Certaines caractéristiques de personnalité, notamment paranoïaques, les événements biographiques, mais aussi le statut cognitif, favorisent l’éclosion délirante. Par exemple, des objets non retrouvés par le malade (qui a pu lui-même les dissimuler dans le passé car ils possédaient une certaine valeur) seront considérés, par lui, comme volés par des proches ou du personnel.
Les hallucinations
Il ne faut pas essayer de faire comprendre à une personne que ses hallucinations sont fausses. On risque un réel échec et notamment de faire naître chez elle le sentiment d’être incomprise, d’être considérée comme perdant la tête, ce qui favorisera l’émergence d’une certaine agressivité ou anxiété.
En l’absence de comorbidité psychiatrique, les hallucinations de la démence de type Alzheimer sont peu élaborées, le plus souvent élémentaires, auditives et/ou visuelles : carillons, sifflements continus, bourdonnement…
Les troubles des identifications
Ils sont favorisés par la perte de la reconnaissance des physionomies. Ils peuvent concerner le propre visage du malade, celui-ci étant alors dans l’incapacité de reconnaître son propre reflet dans le miroir, mais portent également sur le visage de personnes familières (conjoint, enfants…), dans la réalité ou sur des photocopies.
La malade s’adresse alors à ses familiers comme à des personnes étrangères.
Cette non-reconnaissance est tardive, le plus souvent chez les personnes placées en institution. C’est une situation particulièrement douloureuse pour l’entourage, d’autant que la non-reconnaissance peut être sélective à certains membres de la famille (« il ne le reconnaît plus mais continue à me reconnaître moi »), réveillant des rivalités affectives du passé.
« L’illusion des sosies » est définie par la conviction qu’une personne, habituellement un proche du malade, a été remplacée par un double, un sosie. Le malade a l’impression qu’il a affaire à un imposteur, à un sosie presque parfait, certes, mais sûrement pas à l’original. Cette mystification est à la source de conduites agressives ou d’opposition.
Quelques conseils simples
- Ne pas le critiquer ouvertement : « Tu délires ! »
- Mais, à l’inverse, ne pas entrer dans ses constructions délirantes, souvent éphémères et tenter de le rassurer en le confrontant à des éléments de la réalité.
- Identifier le facteur déclenchant.
- Détourner l’attention.
Les troubles des conduites instinctuelles
Les troubles du sommeil
La qualité du sommeil évolue du fait de la pathologie. Le sommeil peut alors être fragmenté par de multiples éveils nocturnes, et la journée peut être marquée par des temps de somnolence (engendrés par l’apathie mais aussi le manque de stimulation). Le risque, à un stade évolué de la pathologie, est que les personnes soient victimes d’une inversion du rythme « veille-sommeil » : la personne va dormir en journée et déambuler la nuit. Cela peut majorer l’épuisement des proches et des aidants, et les troubles du sommeil peuvent précipiter l’entrée en institution.
En fin de journée, lorsque le soleil se couche et que la nuit tombe, il se peut que certaines personnes présentent des états d’hyperactivité : c’est le « syndrome du coucher de soleil ». Ce moment de la journée peut réactiver certaines angoisses, la peur de la mort, de l’abandon, la crainte de se retrouver seule.
Quelques conseils simples
- Maintenir des horaires réguliers pour le coucher et le lever.
- Respecter également un horaire régulier pour le repas.
- Maintenir le plus possible une routine qui rassure.
- Limiter les siestes.
- Éviter la prise de stimulants le soir après le dîner (café, thé, alcool).
- Éviter de trop boire le soir après le dîner et uriner systématiquement avant le coucher.
- Maintenir une ambiance de quiétude : pas de lumière vive, pas de bruit, mettre en place une écoute de musique douce.
Les troubles du comportement alimentaire
Une anorexie avec amaigrissement est observée dès le début de la maladie. Ce trouble peut conduire progressivement à un état de dénutrition sévère. Un bilan nutritionnel détaillé peut s’imposer.
Parfois, les personnes aiment tout particulièrement manger des aliments sucrés et vont ainsi prendre du poids.
Quelques conseils simples
- En parler au médecin (délire ou dépression).
- Donner à la personne ce qu’elle aime, la faire participer aux repas.
Les troubles du comportement sexuel
Les troubles du comportement sexuel peuvent apparaître à un stade modéré. Des troubles de type « désinhibition » peuvent être observés : la personne n’a plus la notion de nos normes sociales. Ainsi, elle peut avoir des paroles osées, des attitudes déplacées (masturbation en public)…
Quelques conseils simples
- Réfléchir en équipe pour une réponse collective.
- Éviter de juger, de ridiculiser ou d’infantiliser la personne.
- Ne pas banaliser.
- Lorsqu’une personne se déshabille, cela peut être révélateur de demandes particulières : souhaite-t-elle aller aux WC ? A-t-elle chaud ? Souhaite-t-elle aller se coucher ? Si le comportement traduit une désinhibition, il est totalement inutile d’avoir recours à la morale, à la réprimande, ou même à la punition.
- Si la personne a des pratiques sexuelles, il est important de les respecter. Elle pourra avoir des temps d’intimité dans un environnement adapté (dans sa chambre).
Notre conseil
Évitez les erreurs
Évitez les circonstances où le résident peut être mis en échec, dévalorisé, humilié (les contentions).
Faq
Quelle attitude adopter face à un trouble du comportement ?
Pour la majorité des troubles du comportement, il faut éliminer et neutraliser le facteur déclenchant, garder son calme, rassurer, prendre le temps d’expliquer et écouter la personne, aménager l’espace, accompagner, réorienter, proposer une activité simple pour détourner l’attention, éviter la contrainte et l’opposition, ne pas se considérer comme personnellement visé.
Quels sont les principaux troubles psycho-comportementaux chez les patients Alzheimer ?
Les patients Alzheimer présentent divers troubles tels que l’anxiété, la dépression, l’apathie, l’agitation, les hallucinations et les troubles des conduites instinctuelles, comme les troubles du sommeil ou alimentaires.
Comment gérer l’anxiété chez une personne atteinte de la maladie d’Alzheimer ?
Il est essentiel d’écouter la personne, d’éviter les changements brusques dans son quotidien, de créer un environnement apaisant et de proposer des activités ludiques pour réduire l’anxiété.
Quels conseils pour faire face aux comportements agressifs ?
Face à l’agressivité, il est recommandé de rester calme, de ne pas hausser le ton, de comprendre la cause possible de l’agressivité et de rassurer la personne sans répondre par l’agressivité.
Comment favoriser un meilleur sommeil chez les patients Alzheimer ?
Pour améliorer le sommeil, il est conseillé de maintenir des horaires réguliers, de limiter les siestes, d’éviter les boissons stimulantes le soir et de créer un environnement calme et sécurisant.
Quelle attitude adopter face aux hallucinations ?
Il ne faut pas confronter la personne à la réalité de ses hallucinations, mais plutôt la rassurer en détournant son attention et en identifiant les facteurs déclenchants potentiels.
Aller plus loin
Bibliographie
- Lucette Lacomblez et Florence Mahieux-Laurent, Les démences du sujet âgé, coll. « Pathologie – science », John Libbey Eurotext, 2003
- Gilbert Ferrey et Gérard Le Gouès, Psychopathologie du sujet âgé, coll. « Les âges de la vie », Masson, 2008 (6e édition)
- Dr Carol Szekely et Frédérique Ouvrard, Réponses à vos questions sur la maladie d’Alzheimer, Solar, 2004
- Henri Petit, L’accompagnement dans la maladie d’Alzheimer, Phase 5, 2002
Sites Internet
Les troubles psycho-comportementaux dans la démence de type Alzheimer dans les ressources documentaires
Littératie en santé
09/06/2024
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